vendredi 30 mars 2012

Tunis, 30 mars 2012: sit-in des familles de disparus en mer devant l'ambassade d'Italie

Des familles de jeunes Tunisiens disparus en mer entre la Tunisie et l'Italie en mars 2011, accompagnées de nombreux amis tunisiens et italiens, se sont rassemblées ce matin 30 mars devant l'ambassade d'Italie à Tunis pour crier la question qu'elles posent depuis un an : "Où sont nos enfants ?" Après plusieurs heures d'attente, une délégation a été reçue par une secrétaire administrative qui a prétendu que l'ambassadeur italien était absent de Tunis. Parallèlement, une manifestation avait lieu devant l'ambassade tunisienne à Rome (ascoltate qui).

Regardez les vidéos ici
 
 "Ouïn ouledna ?": Où sont nos enfants ?
 "D'une rive à l'autre : des vies qui comptent"
 "La Terre est à tout le monde"


"Nous voulons nos enfants, SVP" 

Une longue attente sans résultat


jeudi 29 mars 2012

España: huelga general contra la reforma laboral/Espagne : grève générale contre la réforme du Code du travail الاضراب العام في اسبانيا

Les 3 chiffres noirs de l'économie espagnole :
(Dé)croissance prévue en 2012 : - 1,7%
Dette privée : 217% du PIB
Chômage des jeunes : 49,9% (pour ne pas dire 50%...)
Ajoutons la dette publique : environ 800 milliards d'Euros, soit 70% du PIB, et elle n'a pas fini de monter...
Reforma laboral española. Cuadro del despiece de empleados y trabajadores.
Cuadro guía para empresarios emprendedores
Réforme du travail espagnole. Tableau de dépeçage des employés et travailleurs.
Guide pour entrepreneurs et employeurs
Josetxo Ezcurra, Tlaxcala
 Grève générale: toi aussi! (en catalan)
Fermé pour cause de grève
Le 29 mars, on ne produit pas, on ne consomme pas, on ne vend pas
Pilar Moreno, Tlaxcala

Tunis-Rome: sit-in pour les disparus en mer/Tunisi-Roma: sit-in per i dispersi in mare

Tunisi, Venerdì 30 marzo 2012
Sit-in davanti all’ambasciata italiana,  Place Mongi Bali.
Marzo 2011, marzo 2012. Trecentosessantacinque giorni, cinquantadue settimane, dodici mesi, un anno. Questo il tempo che le istituzioni italiane e tunisine hanno fatto trascorrere senza dare alcuna notizia alle mamme e alle famiglie tunisine che chiedono dove siano i loro figli.
Si susseguono, intanto, i vertici tra Italia e Tunisia per arrivare a un nuovo accordo di cooperazione contro l’immigrazione: nuove frontiere, nuove espulsioni, nuove detenzioni per governare il desiderio di libertà e di libertà di movimento.
Da una sponda all’altra, a distanza di un anno, per le istituzioni e per le loro politiche le vite continuano a non contare.
Quelle di quei ragazzi, partiti subito dopo la rivoluzione declinando così, come libertà di movimento, la libertà appena conquistata; quelle delle loro madri e famiglie, che hanno portato nelle piazze e per le strade della Tunisia il loro dolore e la radicalità di una domanda sulla vita o sulla morte; le nostre, quelle di tutte e tutti noi che da questa parte della sponda abbiamo inseguito quella radicalità, convinte e convinti che ci stesse suggerendo qualcosa di fondamentale: che le vite, tutte, con i loro desideri di libertà, con il loro dolore, con il loro desiderio di vita, nonostante le istituzioni, nonostante le politiche migratorie e le loro pratiche di scomparsa, contano.
Per continuare a ribadirlo, come madri e famigliari   insieme alle donne italiane  che hanno  dato luogo alla campagna “da una sponda all’altra: vite che contano”, crediamo che sia ora indispensabile un’azione sulle due sponde che agisca la radicalità del nostro contare, di noi, tutte e tutti, da una sponda all’altra.
Venerdì 30 marzo saremo a Tunisi dalle ore 10, davanti all’ambasciata italiana mentre a Roma i collettivi di donne della campagna  saranno davanti all’ambasciata tunisina in Via Asmara dalle ore 12.
Le madri dei ragazzi dispersi
Tunis, vendredi 30 mars 2012: sit-in devant l’ambassade d’Italie, place Mongi Bali, à partir de 10 h.
Mars 2011, mars 2012: 365 jours, 52 semaines, 12 mois, 1 an. C’est le temps que les institutions italiennes et tunisiennes ont laissé s’écouler sans donner aucune nouvelle aux mamans et aux familles tunisiennes qui demandent où sont leurs enfants.
Entretemps, les sommets se succèdent entre Tunisie et Italie pour établir un nouvel accord de coopération contre l’émigration/immigration : des nouvelles frontières, des nouvelles expulsions, des nouvelles mises en détention pour étouffer le désir de liberté et de liberté de mouvement.
D’une rive à l’autre, un an plus tard, les vies ne comptent toujours pas pour les institutions et leurs décisions politiques.
Il s’agit des vies de jeunes partis immédiatement après la révolution, mettant en œuvre la liberté à peine conquise sous forme de liberté de mouvement; il s’agit des vies de leurs mères et familles, qui ont exprimé sur les places et dans les rues de Tunisie leur douleur et leur question radicale : sont-ils morts ou encore en vie ?
Il s’agit de nos vies, de celles de toutes celles et tous ceux qui, de ce côté-ci de la mer, ont accompagné cette exigence, convaincuEs qu’elle impliquait quelque chose de fondamental : que les vies, toutes les vies comptent, avec leurs désirs de liberté, avec leurs douleurs, avec leurs désirs de vie, en dépit des institutions, en dépit des politiques migratoires et de leurs pratiques de disparition.
Pour continuer à le répéter, en tant que mères et parents de disparus, aux côtés des femmes italiennes qui ont lancé la campagne “d’une rive à l’autre : des vies qui comptent”, nous pensons qu’il est désormais indispensable de mener une action sur les deux rives pour affirmer radicalement que nous toutes et nous tous, d’une rive à l’autre, nous comptons.
Le vendredi 30 mars, nous serons devant l’ambassade italienne à Tunis à partir de 10 h, tandis qu’à Rome, les collectifs de femmes de la campagne seront devant l’ambassade tunisienne, rue Asmara,  à partir de midi.
Les mères des jeunes disparus en mer


mercredi 28 mars 2012

Faillites personnelles : la facture de l’austérité portugaise

Alors que Lisbonne joue le jeu de l’austérité pour s’assurer la manne internationale, l‘économie réelle est en train d’en pâtir.
Nombre d’entreprises déposent le bilan. Les faillites personnelles sont encore plus nombreuses : 55% du total en 2011. Nuno Pinto, a opté pour cette solution. Ce chômeur père de famille ne peut plus rembourser son logement et risque l’expulsion.
“On se trouve confronté à des situations de plus en plus difficiles et on commence à broyer du noir, explique-t-il. C’est tellement désespérant ! Cela fait un mois et demi que je n’ai pas touché de salaire et je ne sais pas si je vais toucher des indemnités de chômage. Quelles sont mes perspectives d’avenir ?”
Cumulées, la dette publique et la dette privée représentent 416% du PIB portugais. 670.000 Portugais se sont déclarés insolvables l’an dernier. Avec une projection de croissance négative pour 2012, les chances pour les 14,8% de chômeurs de retrouver un emploi pour s’en sortir sont maigres.
Du fait de la multiplication des cas d’insolvabilité, les saisies de biens immobiliers se multiplient : 28.500 l’an dernier. Il pourrait y en avoir 36.000 cette année.
L’austérité affecte tellement le pouvoir d’achat des Portugais que ni la consommation, ni l’investissement ne peuvent repartir. Dans ces conditions, un deuxième plan de sauvetage n’est pas à exclure.

Un message d'Athènes

Salut à tous et a toutes,

Important: Les représentants de la Troïka viennent d'expliquer au Parlement Européen que l'objectif de leurs politiques appliquées à la Grèce est de "faire baisser les salaires et les pensions de ce pays au niveau de la Roumanie et de la Bulgarie, c.a.d. 150 euros par mois". La déclaration des représentants de la Troïka a été faite hier mardi durant  la session commune des commissions Économie et Emploi du Parlement Européen, en réponse à une question du député européen de SYRIZA Nikos Hountis.
  Après cette déclaration très officielle, il n'est plus permis le moindre doute quant a la suite des événements car ces salaires "bulgares" seront très bientôt combinés en Grèce avec un coût de la vie français ou allemand. En somme, la famine -et la barbarie- généralisée...
Alors, mobilisons-nous! Ça urge plus que vous le pensez!...
Amitiés
Yorgos
***

Murs d'Athènes, mars 2012

 Thanato stous politikous=mort aux politiciens
 Λευτερια στους κρατούμενους (Lefteria stous kratomenous)=liberté pour les détenus
για τη Συνωμοσία Πυρήνων της Φωτιάς (gia ti Synomosia pyrinon tis fotias)= de la Conspiration des cellules de feu (groupe anarchiste)

Mensaje de Anonymous a partidos, sindicatos y demás plutócratas. #ReformaLaboral

Respuesta de Anonymous a las reformas llevadas a cabo recientemente por el nuevo gobierno del Partido Popular.

29M: Huelga general Grève générale en Espagne


Huelga General

Manifiesto por la Huelga General #29M en 2012

Iniciativa espontánea popular frente a la violación de nuestros derechos más fundamentales.

Vivimos en un país donde...

Por todo ello y mucho más los ciudadanos estamos indignados.
Ya es hora de demostrar a quienes acaparan el poder, que el único poder válido será aquel que emane directamente del pueblo.

Actúa: Desobediencia civil pacífica tras el #29M

Afortunadamente los agentes sociales comienzan a despertar y a exigir que no se vulneren nuestros derechos más fundamentales.
Pero no es suficiente.
El único objetivo que tienen en mente ahora mismo los aparatos del estado es seguir mantiendose en el poder y en su costosa infraestructura a cargo de los impuestos que todos los ciudadanos pagamos a diario.
El estado no cumple con su cometido de servir y priorizar el bienestar del ciudadano. Es momento de recordarles que somos quienes les mantenemos donde están. Como ciudadano indignado con la situación del país puedes actuar desde ya:
Huelga e insumisión fiscal:

  • + No pagaré IVA
  • + No pagaré IRPF
  • + No pagaré TASAS locales
  • + Haré uso de la economía sumergida al margen del estado siempre que tenga oportunidad
Huelga e insumisión administrativa:
  • + No ingresaré IVA
  • + No retendré IRPF
  • + No pagaré multas
  • + No pagaré el transporte público cuando haga uso de él
  • + No reconoceré la autoridad de las fuerzas de seguridad del estado y altos cargos
  • + No solicitaré permisos, licencias ni subvenciones de ningún tipo a la administración
Huelga e insumisión financiera y de consumo:
  • + Cancelaré todas mis cuentas bancarias, depósitos y tarjetas, para obtener mi dinero en metálico
  • + No compraré productos de marcas y empresas que acepten y fomenten la explotación de sus trabajadores
  • + Colaboraré en la ocupación de viviendas vacías en manos de entidades financieras para acoger a familias desahuciadas
  • + Me negaré a seguir pagando cualquier tipo de préstamo, hipoteca, seguro o plan contratado con las entidades financieras
  • + No compraré productos de discográficas, productoras o editoriales que apoyen leyes restrictivas de derechos de autor y la censura en Internet
Redistribución del poder y la riqueza:
  • + No votaré a partidos políticos que me mientan y violen mis derechos
  • + Apoyaré al pequeño/mediano comerciante local y abandonaré la compra en grandes centros comerciales
  • + Colaboraré con ONG'S y otros organismos que se ocupan de labores sociales que nuestro gobierno deja de lado
  • + Ocuparé y haré uso de toda instalación o espacio público, ya que pertenece legítimamente al pueblo y no a la administración
El poder actual establecido solo entiende de un tipo de democracia: la del consumo y el dinero.
Todas estas acciones deben realizarse hasta que el gobierno comience a trabajar por el interés general de la ciudadanía en lugar de por el de la banca, las corporaciones y las grandes fortunas.


Monográfico sobre la Reforma Laboral

Una nueva reforma, un nuevo ataque… ¡Plantémosle cara!

Puedes descargarte el monográfco sobre la reforma laboral pinchando aquí

Ya desde las pasadas elecciones generales se viene barruntando una nueva modificación del régimen laboral, una nueva reforma -y ya son incontables- “que acometa los grandes males de la economía española”. Se presiona desde la Unión Europea, y aplaude el gobierno del Partido Popular, la patronal y gran parte de los tertulianos que pueblan los medios de comunicación. Finalmente, es aprobada el pasado 10 de febrero en el Consejo de Ministros, rodeada de grandes intenciones, en este caso reducir drásticamente el paro, perseverar en la productividad y, sobre todo, contentar a Europa y a los mercados, a ver si así ponen en el punto de mira a otros y nos dejan un tiempo en paz.
Madrid, febrero de 2012.
Tirada: 4.000 ejemplares.
Para conseguir copias en papel, contacta con nosotros/as en todoporhacer@riseup.net